Une
dispute épistol’air
1. Je suis
venu te dire que je m’en vais et tes larmes n'y pourront rien changer. Comme
dit si bien Verlaine au vent mauvais, je suis venu te dire que je m'en vais
2.
J'm'en fous pas mal. Il peut m’arriver n’importe
quoi, j’men fout pas mal, ça m’est égal, j’m’en fout
3. Ouais je
suis au regret de te dire que je m'en vais car tu m'en as trop fait.
4.
Pas la peine de laisser ton numéro, pas la
peine d'emporter ma photo, tu es venu me dire, que tu t'en vas.
5. Je fuirai,
laissant là mon passé, sans aucun remords, sans bagage et le cœur libéré, en
chantant très fort
6.
J’aurai ta peau Léon, Léon, Léon, Léon,
Léon, Léon
7. Partir,
quitter sa ville son village, sa maison, quitter sa terre, ses racines, ses
chansons. Partir pour un monde meilleur
8.
Il faudrait, il faudrait peut-être que je
te dise "reste" et tout changerait peut-être si tu me disais
"viens"
9. C´est un
fameux trois-mâts fin comme un oiseau. hisse et ho, Santiano, dix huit nœuds,
quatre cent tonneaux : je suis fier d´y être matelot
10. N'y
va pas y a des tempêtes et des naufrages le feu, les diables et les mirages, je
te sais si fragile parfois.
11. Dans le
port d´Amsterdam y a des marins qui chantent les rêves qui les hantent au large
d´Amsterdam. Dans le port d´Amsterdam y a des marins qui dorment comme des
oriflammes le long des berges mornes
12. A
force de m'être cherchée, c'est toi que j'ai perdu. A force de m'être cherchée,
c'est toi que j'ai perdu. Oh, je t’ai perdu.
13. Start
spreading the news, I'm leaving today. I want to be a part of it, New York, New
York.These vagabond shoes, are longing to stray. Right through the very heart
of it, New York, New York.
14. Dis quand reviendras-tu, dis au
moins le sais-tu, que tout le temps qui passe ne se rattrape guère, que tout le
temps perdu ne se rattrape plus.
15. Je t'envoie mes images, je t'envoie
mon décor, je t'envoie mes sourires des jours où je me sens plus fort,
16. N’écris pas, n’apprenons qu’à
mourir à nous même, ne demande qu’à Dieu, qu’à toi si je t’aimais
17. Même en courant Plus vite que le
vent, plus vite que le temps, même en volant, je n'aurai pas le temps, pas le
temps, de visiter toute l'immensité d'un si grand univers. Même en cent ans je
n'aurai pas le temps, de tout faire.
18. Comme un volcan devenu vieux mon coeur
bat lentement la chamade, la lave tiède de tes yeux coule dans mes veines
malades. Je pense si souvent à toi que ma raison en chavire comme feraient des
barques bleues et même les plus grands navires.
19. Tant bien que mal tout va très bien
sans toi, qu'est ce que tu crois. Sauf quelques fois la nuit, sauf quelques
fois encore j'oublie que je te cherche doucement malgré moi. Qu'est ce que
tu crois et tant bien que mal tout va très bien sans toi.
20. Je tourne en rond dans ton absence,
Le cœur déchiré par l'ennui, Victime de ton indifférence, Comme un remous seul
dans la nuit. Je me torture à essayer d'oublier nos complicités, notre passé
fleuri de rires et les oiseaux de nos plaisirs.
21. Il manque quelqu'un près de moi, je
me retourne tout le monde est là. D'où vient ce sentiment bizarre que je suis
seul
22. Tout doucement, envie de changer
d’atmosphère d’attitude. Tout doucement, besoin d’amour pour remplacer
l’habitude. Tout simplement, arrêter les minutes supplémentaires, qui font de
ma vie un enfer. Je l'aime encore mais plus vraiment.
23. Si,
maman, si, si, maman, si. Maman, si tu voyais ma vie. Je pleure comme je ris, si
maman si. Mais mon avenir reste gris et mon cœur aussi.
24. Avec d'autres bien sûr je
m’abandonne, mais leur chanson est monotone, et peu à peu je m'indiffère, à
cela il n'est rien à faire.
25. Belle-Ile-en-Mer,
Marie-Galante, Saint-Vincent. Loin Singapour, Seymour Ceylan. Vous c'est l'eau
c'est l'eau qui vous sépare et vous laisse à part.
26. Ce
n'est rien tu sais bien que le temps passe ce n'est rien, ce n’est rien, elle
s’en vont comme les bateaux et soudain, et soudain…
27. Je
reviens, je reviens, je reviens au pays. Sous le vent et la tempête pour toi
j'ai mené mon bateau. Je reviens le cœur en fête jusqu’aux portes de Saint Malo.
28. Et soudain,
comme un bateau qui revient ca prévient il y a mille sirènes de joie sur ton
chemin qui résonnent et c'est très bien
29. Avec
notre passé pour guide, on croyait qu'il pourrait suffire, On
se devrait d'être lucide, pour ne plus aimer de le dire, mais
notre méfiance est à bout. Voilà ça devait être à nous. L'amour
est bien plus fort
que nous
30. Moi je
sais tous tes sortilèges, tu sais tous mes envoûtements, Tu m’as gardé de piège
en piège, je t’ai perdue de temps en temps. Bien sûr tu pris quelques amants il
fallait bien passer le temps, il faut bien que le corps exulte finalement
finalement il nous fallut bien du talent pour être vieux sans être adultes;
31. Avec
le temps, avec le temps, va, tout s´en va, on oublie le visage et l´on oublie
la voix. Le cœur, quand ça bat plus, c´est pas la peine d´aller chercher plus
loin, faut laisser faire et c´est très bien
32. Il est
morne, il est taciturne, il préside aux choses du temps. Il porte un joli nom,
Saturne, mais c'est un Dieu fort inquiétant, il porte un joli nom, Saturne,
mais c'est un Dieu fort inquiétant.
33. J'ai
la mémoire qui flanche, j'me souviens plus très bien, quel pouvait être son
prénom et quel était son nom? Il s'appelait, je l'appelais, comment
l'appelait-on? Pourtant c’est fou ce que j’aimais l’appeler par son nom.
35. Que
m’importe le temps qui passe et s´éloigne nulle part, le doux présent nous
enlace, tant qu´aimer n´est pas trop tard. Sais-tu bien mon tendre ami qu´un
jour se dissout la vie, comme s´effacent les brouillards. Mieux vaut s´estomper
ensemble sans une seconde d’écart, mieux vaut s´estomper ensemble ni trop tôt
et ni trop tard.
36.
Regarde,
il gèle, Là sous mes yeux, des stalactites de rêves trop vieux. Toutes
ces promesses qui s’évaporent, vers d'autres ciels, vers d'autres ports. Et mes
rêves s'accrochent à tes phalanges
Je t'aime trop fort, mon ange, mon ange.
Je t'aime trop fort, mon ange, mon ange.
37. On
est bien peu de chose et mon amie la rose me l´a dit ce matin. Vois le dieu qui
m´a faite me fait courber la tête et je sens que je tombe et je sens que je
tombe. Mon cœur est presque nu, j´ai le pied dans la tombe. Déjà je ne suis
plus.
C'est alors que ma paupière
vous vit pâlir et mourir
tendres fruits qu'à la lumière
dieu n'a pas laissé murir
quoique jeune sur la terre
je suis déjà solitaire
parmi ceux de ma saison
et quand je dis en moi-même
"où sont ceux que ton cour aime?"
je regarde le gazon.
vous vit pâlir et mourir
tendres fruits qu'à la lumière
dieu n'a pas laissé murir
quoique jeune sur la terre
je suis déjà solitaire
et quand je dis en moi-même
"où sont ceux que ton cour aime?"
je regarde le gazon.
Crédit : Titre, interprète, auteur, compositeur
1.
Je suis venu te dire que je m’en
vais : Serge
Gainsbourg
2. J’m’en
fous pas mal : Édith Piaf, Michel Emer
3.
Je suis venu te dire que je m’en
vais : Serge
Gainsbourg
4. Tu
t’en vas : Marie Carmen, Pierre Houle, Steven Tracey
5.
Emmenez-moi : Charles Aznavour
6.
La Peau
Léon : Jeanne Moreau, Serge Rezvani
7.
Partir : Alain Barrière
8.
Au revoir: Barbara, Guillaume Depardieu
9.
Santiano : Hugues Aufray, Dave Fisher, Jacques Plante
10.
Là Bas : Sirima, Jean-Jacques
Goldman
11. Amsterdam: Jacques Brel
12.
A force: Barbara
13. New York New
York : Frank
Sinatra,
John kander fred ebb
14.
Quand
reviendras-tu : Barbara
15. Quelques mots
d'amour : Steeve Estatof, Michel Berger
16.
Les
séparés : Isabelle Boulaye , Marceline
Desbordes-Valmore,
17. Je n'aurai pas le
temps Pas le temps : Michel
Fugain,
Pierre Delanoe,
18. Le
Coeur Volcan : Isabelle Boulaye Etienne Roda
Gil, Julien Clerc
19. Qu’est-ce que tu
crois :
Julien Clerc, Carmichael Hoagy
20. Naufrage :
Isabelle
Boulay, Dan Bigras, Gilbert Langevin
21. Quelques mots
d'amour : Steeve Estatof
, Michel Berger
22. Tout
simplement, doucement : Bibi, Jean-Paul Dréau
23. Si, maman,
si : Coluche, Michel Berger
24.
La chanson de
Prévert : Anne Sylvestre,
Serge
Gainsbourg
25. Belle-Île en mer,
Marie-Galante : Laurent Voulzy, Alain Souchon
26.
Ce n'est rien
: Barbara, Etienne Roda Gil, Julien Clerc
27. Je reviens : Hugues Aufray (musique
andine la boliviana)
28.
Ce n'est rien
: Barbara, Etienne Roda Gil, Julien Clerc
29.
Plus fort que nous: Nicole
Croisille, Pierre
Barouh,
Pierre Barouh
30. La chanson des
vieux amants : Jacques
Brel
31.
Avec le
temps : Isabelle Boulaye,
Léo
Ferré
32. Saturne : Georges Brassens
33.
J’ai la
mémoire qui flanche : Mona Heftre, Serge Rezvani
34. Saturne : Georges Brassens
35. Ni
Trop Tôt, Ni Trop Tard : Jeanne Moreau, Serge
Rezvany
36. Le tunnel
d’or : Simon
Buret,
Olivier Coursier (AaRON (Artificial Animals Riding On Neverland)
37.
Mon amie la
rose : Françoise Hardy, Cécil
Caulier, Jacques Lacome d’Estalenx
38.
Pensée des morts : Georges Brassens, Lamartine
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire